Madame Marie Louise Jamoye

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Domiciliée à Remouchamps (4920, Belgique)
Née à Chevron (4987, Belgique) le jeudi 3 décembre 1925
Décédée à Verviers (4800, Belgique) le samedi 26 août 2017 à l'âge de 91 ans
Veuve de Monsieur René Marquet

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le dimanche 27 août 2017.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Madame Marie Louise Jamoye. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

10 messages (8 privés)
 
Témoignage 

Nous présentons à toute la famille nos sincères condoléances

Marc et Martine Pondant-Vanbellingen- 28-08-17

Hommage 

Une mère
Ça travaille à temps plein, ça dort un œil ouvert
C'est d'garde comme un chien
Ça court au moindre petit bruit, ça s'lève au petit jour
Ça fait des petites nuits.
C'est vrai, ça crève de fatigue
Ça danse à tout jamais une éternelle gigue
Ça reste auprès de sa couvée
Au prix de sa jeunesse, au prix de sa beauté.

Une mère,
Ça fait ce que ça peut, ça ne peut pas tout faire,
Mais ça fait de son mieux.
Une mère,
Ça calme des chamailles
Ça peigne d'autres cheveux que sa propre broussaille

Une mère,
C'est plus com' le autres filles
Ça oublie d'être fière

Ça vit pour sa famille
Une mère,
Ça se confine au bercail
C'est pris comme un noyau
dans le fruit de ses entrailles

Une mère,
C'est là qu'ça nous protège
Avec les yeux pleins d'eau, les cheveux pleins de neige
Une mère,
A un moment, ça s'courbe, ça grince quand ça s'penche
Ça n'en peut plus d'être lourde
Ça tombe, ça se brise une hanche
Puis rapidement, ça sombre
C'est son dernier dimanche
Ça pleure et ça fond à vue d'oeil
Ça atteint la maigreur des plus petits cercueils
O bien sûr, ça veut revoir ensemble
toute sa progéniture entassée dans sa chambre
Et ça fait semblant d'être encore forte
Jusqu'à c'que son cadet ait bien r'fermé la porte
Et lorsque, tout' seule ça se retrouve
Ça attend dignement qu'le firmament s'entr'ouvre
Et puis là , ça se donne le droit
De fermer pour une fois les deux yeux à la fois

Une mère ça ne devrait pas partir
Mais on n'y peut rien faire
Mais on n'y peut rien faire

Janine Lejeune- 28-08-17