Madame Bethy RONSMANS
Domiciliée à Saint-Gilles (1060, Belgique) Née à Uccle (1180, Belgique) le mardi 7 octobre 1952 Décédée à Saint-Gilles (1060, Belgique) le mercredi 11 décembre 2024 à l'âge de 72 ans Epouse de Monsieur Maurice ARQUIN
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Espace condoléances
Cet espace condoléances a été créé le vendredi 13 décembre 2024.
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In memoriam
Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Madame Bethy RONSMANS. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même.
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile.
Merci d’avance.
Condoléances
Nous présentons nos plus sincères condoléances !
Une femme brillante qui s’est battue jusqu’au bout!
Gros bisous Betty de la haut ❤️
Kimberley Randy et les enfants Beguint / cowez- 14-12-24
Témoignage
Du plus profond de mon cœur ❤️
Toutes mes sincères condoléances ma chouchou,
À toi et la famille, ta maman me laisse un souvenir immense. Adorable personne, d'une énorme gentillesse, je suis triste de ne pouvoir vous accompagner dans ce douloureux moment. 😪🙏
De tout cœur avec vous
Ninie
Virginia Pavanello- 15-12-24
Hommage
Petite Betty, ta taille modeste cachait un cœur immense, plein de douceur et de générosité. Bien que nos rencontres aient été rares, chacune d’elles m’a laissé un souvenir précieux. Ton sourire chaleureux et ta gentillesse naturelle ont illuminé ceux qui croisaient ton chemin. Ces belles qualités, tu les as transmises à tes enfants, qui sont la plus belle continuité de ton âme si bienveillante. Je te souhaite un repos serein, aussi paisible que ton regard l’était. Toutes mes pensées vont vers ta famille et tes proches dans cette épreuve. Courage et sincères condoléances
Maïté Demoustier- 14-12-24
Hommage
Être fidèle à ceux qui sont morts
Ce n’est pas s’enfermer dans la douleur.
Il faut continuer de creuser son sillon, droit et profond.
Comme ils l’auraient fait eux-mêmes.
Comme on l’aurait fait avec eux, pour eux.
Être fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu.
Et les faire vivre avec nous.
Et transmettre leur visage, leur voix, leur message, aux autres.
À un fils, une fille, à un frère, ou à des inconnus, aux autres, quels qu’ils soient.
Et la vie tronquée des disparus, alors, germera sans fin...
Olivier Marcelis- 14-12-24