Les hommages

Merci pour ton aide et les conversations pendant plus de 30 années.. Tu étais trés gentil et un voisin très serviable. Un homme sans pareils.. Condoleances á la famille de ma femme et moi

Un voisin qui s'en va beaucoup trop tôt...
J'appréciais ta simplicité, ta gentillesse, ta discrétion.
Au revoir Jean-Marc, repose en paix
Mes sincères condoléances aux proches

Nous vous adressons nos plus sincères condoléances en ce moment de deuil et vous témoignons toute notre sympathie et notre soutien.

Evocation sensible de mon père, Georges, Papa.

Papa, t'aurais pu prévenir avant de partir. Mais cela te correspond bien, tu n'étais pas un bavard, discret, plutôt taiseux. Comme disent les jeunes, trois phrases de suite et tu étais au bout de ta vie.
C'était difficile de sonder ton âme, tu te livrais peu. Et pourtant je sais que tu nous aimais, nous tes fils, ton épouse, tes belles-filles, petit fils et petite fille. Sans nous le dire, tu ne nous as jamais fait défaut. Nous pouvions compter sur toi.

Tu as tracé ta vie calmement, les circonvolutions, les arabesques, les sinuosités improbables ce n'était pas ton style. Comme un laboureur consciencieux, l'esprit tourné vers l'extrémité du champ de la vie, tu as creusé un sillon rectiligne, propre, honnête, solide aussi bien sur les plans personnel, familial, professionnel que social.
A l'adolescence, lorsque je te regardais dérouler ce chemin de vie, je trouvais ça monotone, sans imagination, presque ennuyeux. Aujourd'hui avec toi à l'extrémité de ce champ, je me retourne et je me dis qu'une ligne droite c'est beau aussi, et que vous en conviendrez, ce n'est pas si facile à tracer.

Tu étais un amoureux des grands espaces vierges ou peu fréquentés. Les histoires d'aventures, de pionniers, de découvreurs aux quatre coins du monde te fascinaient.
Tu aimais la randonnée, la marche en montagne notamment. Tu as fait quelques 4 000 dans les Alpes, j'ai gravi quelques années après toi le Grand Paradis dans le massif du Mont Rose. Tu m'avais donné ton piolet, je lui suis resté fidèle, il n'était pas pensable pour moi de partir avec un autre piolet que celui-ci. Il m'a accompagné sur toutes mes ascensions. A travers lui tu veillais sur moi et tu m'accompagnais dans ces périples hivernaux.

Voila Papa, je souhaite te faire un ultime cadeau. Nous irons ensemble sur le point culminant du massif des Bauges manger un reblochon, ton fromage préféré. Nous mangerons la croute bien-sur, le reblochon sera coulant, le pain craquant et nous l'accompagnerons d'un petit Gamay des coteaux de Savoie, fruité, gouleyant, frais comme une bise de printemps sur les alpages, beau comme un lever de soleil sur la Tournette et le lac d'Annecy.
Tu ne boiras qu'un seul verre, tu étais un homme sobre, moi deux ou trois, peut-être quatre et quand le soleil commencera à décliner, je t'installerai appuyé sur un rocher, ou posé au creux d'une souche, pour que tu puisses regarder le soleil lentement se coucher derrière les crêtes. Pendant ce temps je descendrai dans la vallée, tu auras l'éternité pour profiter tranquille de ces belles montagnes de Savoie que tu aimais tant.

Je t'embrasse Papa, surtout ne me remercies pas cette fois, c'est normal qu'un fils embrasse son père.

Philippe

Oprechte deelneming veel sterkte aan de familie

Papa , tu me manque tellement je t’aime tellement j’espère que la ou tu es tu te sent bien et que tu souffre plus tu a fait tellement pour moi tes petites filles tu leurs manque très fort et elle t’aime très fort comme à moi, je t’aime et souffre de ton absence, jamais je ne t’oublierais jamais, tu resteras a jamais dans mon coeur ♥️ encore merciii pour tous. Je t’aime mon papa d’amour ta puce pour la vie

[CARNET NOIR – LYRE DECAZEVILLOISE]

C’est avec tristesse que nous venons d’apprendre par voie de presse, le décès de Jack Robert, ancien sociétaire clarinettiste de la Lyre decazevilloise. Né le 4 août 1944 à Rodez, Jack Robert a notamment embrassé une carrière d’enseignant dans l’éducation nationale. Domicilié rue Cayrade durant ses jeunes années à la Lyre, il retournera à Decazeville une fois à la retraite, devenant une figure du quartier de la Vitarelle. Bien connu de nombreux commerçants locaux, il avait ses habitudes notamment à la maison de la presse.

** Pianiste, clarinettiste et saxophoniste **

C’est sa mère violoniste, élève de Louis Marroufin (chef de la Lyre de 1919 à 1943), qui va lui donner le goût de la musique. Jack Robert va d’abord s’initier au piano à l’âge de 4 ans, avant de croiser la route du charismatique chef Raymond Robin. Il débute la clarinette à l’âge 9 ans, lors de cours particuliers donnés rue de la Quatrième République. Bien plus tard, il intégrera la classe de saxophone du conservatoire de Saint-Omer (Pas-de-Calais).

** Dix années avec la Lyre decazevilloise **

C’est en septembre 1956 que Jack Robert devient sociétaire de la Lyre, à l’occasion de la fête de Decazeville. Nommé 3ème clarinette à l’âge de 12 ans, il est promu 2ème clarinette un an plus tard, faisant fonction de saxophone soprano. M. Robin ne tolérait pas le saxophone soprano, cher au musicien Sydney Bechet, à cause de la justesse de l’instrument (il donnait les partitions aux clarinettistes) et de sa filiation au jazz. Jack Robert participe notamment aux très imposantes célébrations de la Sainte-Barbe à Decazeville, au ravitaillement des mineurs en grève au fond du puits, mais aussi aux obsèques en grande pompe de Paul Ramadier. C’est en 1966 qu’il quitte définitivement les rangs de la Lyre. Plus récemment en 2020, il collabore activement à l’écriture et à la documentation du livre d’art « Musiques à ciel ouvert », consacré à la Lyre decazevilloise.

Jack Robert vient de s’éteindre à l’âge de 78 ans. À sa fille Emmanuelle et à ses proches, la Lyre decazevilloise exprime ses sincères condoléances et sa profonde reconnaissance pour son engagement associatif.

Je garderai dans mon cœur ton joli sourire et tes éclats de rire en réponse à mes petites blagues que j'adorais partager avec toi.
Je te sens déjà si heureuse là haut que cela apaise la blessure de la séparation.
Je te dis à bientôt,
Cahuète.

Marthe,

Je t'ai connue par l'abbaye d'Orval, où je me rendais chaque matin à vélo à travers les bois, toi tu y allais par différents moyens, principalement en voiture au bon cœur des chauffeurs, mais tu n'hésitait pas de t'y rendre à pied.
Nous partagions les laudes, suivies de l'eucharistie avec la communauté monastique : messe d'espérance pour offrir notre journée au Seigneur.
Le temps allant, nous avons fait plus ample connaissance, tu est venue déjeuner dans notre maison de Mogues ; tu nous as invité, avec Gabielle et sa protégée Pascale au petit déjeuner du lundi matin, où chacun amenait un petit quelque chose, je m'y rendais à vélo pour monter cette terrible côte du bois Bochet : c'était un temps de fraternité et de joie, dans ta belle maison, dont je garde un merveilleux souvenir.
Dans ma mission de Député aux Obsèques, tu m'as aidé par tes connaissances des familles de notre paroisse.
Nous nous sommes retrouvés ensemble à l’hôpital de Sedan, je pensais que tu allais nous quitter, mais Dieu t'a encore donné de nombreuses années à vivre dans la prière.
Je t'apportais tes Pâques et ton Noël en chocolat, mais ce que tu aimais par dessus tout : c'était les fraises Tagada.
La dernière fois que je suis venu te voir, ta fille Thérèse m'a accueilli, tu étais alitée dans ta chambre, je ne comprenais pas ce que tu chuchotais, Thérèse m'a servi d'interprète ; j'avais à la main un gros paquet de fraises Tagada, avec lequel je suis reparti, en priant pour Toi.
Que de souvenirs me reviennent, dans les services que tu rendais en toute simplicité.

Tu as rejoint notre Dieu, que tu aimais et priait si bien.
Repose en Paix Marthe, tu es en mes prières.

Ton ami Luc de Mogues le 15 décembre 2022

Mon chère parrain.
Tu m'as toujours aidé dans les moments les plus difficile, un jours, tu avais prévu de nous aider ma tatie et moi, tu voulais nous réunir tatie et moi, je te remercie d'avoir réussi à le faire, même si ce n'est pas de la façon dont nous aurons pu le souhaiter. Je t'aime et tu me manque beaucoup. Je ne sais pas si tu te rend compte à quel point j'ai pleuré. Tu nous manque à tousse, surtout à ta maman. Encore une fois, je t'aime parrain.

Tu me manque bcp...😢

Bonsoir, je suis connecté à vos douleurs. Fameuse femme : quelle superbe photo. Mon seul regret est de ne l’avoir rencontrée ! Ce caractère entier, cette rage noble ainsi que cette colère belle et « vivante » : elle me ressemble. Fiers de nos rages dans l’énergie sans rêves… Je suis avec vous deux. Mon affection vous accompagne. Patrick

Robert ,
De laatste keer dat we elkaar zagen was alweer 7 jaar geleden toen je op visite kwam ter gelegenheid van het pensioen van een collega. Robert was graag gezien en werd met veel plezier uitgenodigd. Met Robert was het het vaak lachen als hij voor de 10de keer dezelfde mop vertelde of als hij uitgenodigd werd voor een drink. Maar Robert was in zijn werk zeer precies en conctentieus. Het moest juist zijn! Zijn werk was belangrijk wat hem sierde.
Met Robert verdwijnt een BBL-icoon en een graag geziene mens.

Dank U Robert

Nous présentons nos plus chrétiennes condoléances à toute la famille

Ta joie de vivre et ton sourire nous manquerons énormément. Repose tranquille et en paix.
Honta

nous n'irons plus chez Marie ensemble nous ne jouerons plus à la belote ensemble mais une chose est certaine c'est que nous ne t'oublierons pas jp et lise

Grosse pensée pour ma petite mamie que j'adorais. Que je m'occupais depuis presque 7 ans de temps en temps. J'étais son AVS . Elle va me manquer. Toujours dans mon cœur

Repose en paix....j oubliais quand tu verra Pablo dit lui qu 'il me manque ....

Sincères condoléances à toi Michele et à la famille courage a vous en ce moment difficile

Sincères condoléances à toute la famille

J'ai eu la chance de croiser le chemin de Christine à plusieurs moments de son action en faveur des personnes agées.
Elle a avant beaucoup, perçu les problèmes du grand âge, de la dépendance et de la fin de vie.
Elle a en participant à de multiples commissions et la vie associatve tenté de promouvoir toujours plus d'humanité vis-àvis de cette catégorie de personnes souvent oubliées par les politiques et maltraitées par les puissance d'argent. C'était ce que l'on appelle dans la tradition juive UNE BONNE PERSONNE

Christian est de ceux que l’on n’oublie pas.
Je mesure aujourd’hui du privilège qui m’a été offert d’avoir été a ses coté. il est un exemple de conduite de vie d’honnête homme. J’ai pu apprécier sa bonne humeur, sa générosité et ses enthousiasmes. Sa raison était aussi l’intelligence bienveillante au service des autres.
Je l’en remercie de toute mon âme.
Adieu Christian.
Pierre Sagau.
Ancien animateur de L’amitié cévenole.

J'étais encore bien jeune conducteur quand j'ai eu le plaisir de connaître ce grand monsieur. Derrière sa légendaire bonne humeur se cachait un être sensible et attachant qui n'était pas avarre d'un conseil prodigué avec bonne humeur. Il a certes traversé discrètement sa carrière mais moi je m'en souviendrai encore longtemps. Paix à ton âme Jacques

Tu vas nous manquez Tonton José. 😭😭😭😭💔💔💔💔💫💫💫💫

Pendant plus de 15 ans, Monsieur Pialot a été "Monsieur école des loisirs" au Cameroun.
Épaulé par sa femme Esther, il a été le passeur de livres grâce à qui de nombreux élèves camerounais ont pu découvrir nos ouvrages.
Son engagement pour le livre, la lecture et les lecteurs restera pour nous une exemple à suivre éternellement.
Au nom de la maison d'édition, de toutes les personnes qui ont travaillé avec lui et de tous les auteurs, je tenais à lui rendre un ultime hommage et à transmettre nos condoléances à Esther et toute la famille.

Guillaume Fabre
Directeur de l'école des loisirs