Tributes

Toutes mes condoléances à la famllle. .Christian est parti encore jeune,et me laisse que de bons souvenirs.d’un homme droit ,honnête.serviable etc…

Et voilà Sirelli, tu est partie au-delàs de l'arc-en-ciel.....mais il nous reste encore le ruissellement de la cascade et le vent pour nous parler .....

Avec le départ d'Any pour le Royaume des Cieux, c'est une partie de notre enfance qui s'envole avec elle. Je continue chaque jour à lui faire parvenir mes aventures de la journée, je poursuivrai jusqu'à la fermeture de son courriel, ce qui poursuit sa présence sur le Web. Any était dans mes prières pour qu'elle guérisse, elle sera dans mes prières pour que son âme soit en paix. A vous ses enfants, sa famille je vous apporte mon soutien fraternel.
Luc son ami

Aujourd'hui mémé malgré la distance qui me sépare de toi, je veux te rendre hommage, 95 ans, une vie bien remplie, marquée par tant de sagesse, de force et d'amour. Je me souviens de tous ces moments que nous avons partagés, de ton regard bienveillant lorsque je t'ai présenté ma copine, des histoires que tu racontais, tu nous a vu grandir avec Audrey. Tu as toujours étais la pour nous. Nous t’en seront à jamais reconnaissant.
Mon absence aux obsèques me pèse, mais sache que mon cœur est avec toi et avec ceux qui sont rassemblés pour te dire adieu. De Nice à la sotte , la distance ne m'empêche pas de ressentir ta présence, cette chaleur que tu as toujours dégagée.
Tu nous laissera à jamais un immense vide de ton amour et de précieux souvenirs avec ta bonne humeur et ta spontanéité qui nous faisait toujours sourire. Repose en paix mémé. Tu resteras toujours dans mon cœur et dans le notre.
Nicolas Aurea et Audrey

Je vous souhaite tout le réconfort, le soutien, le courage et la bienveillance que vous méritez dans ce moment difficile. Je suis de tout cœur avec vous dans cette épreuve et vous témoigne toute ma sympathie. Mes pensées et mes prières sont avec vous et toutes la familles en ces moments difficiles. Allah vous donne la patience et la force de traverser cette épreuve.

Mme Josianne,

Je garderai de vous un excellent souvenir. Une femme douce avec du caractère, reconnaissante de mon travail et avec qui je passais de superbes vendredis matins. Vous me répétiez souvent que je vous étais indispensable, mais vous ne vous rendiez pas compte à quel point vous l'étiez pour moi aussi. Nous avons besoin de personnes comme vous. Je vous dis merci, et vous souhaite un doux voyage vers un endroit où vos souffrances ne seront plus. Vous me manquerez beaucoup.

Une pensée particulière pour Sophie, Sylvain, ainsi que leurs trois enfants, dont j'ai tant entendu parler. Votre Nanou était très fière de vous tous. Plein de courage.

Gwendoline, aide à domicile de Mme Josiane

Nous partageons votre peine et présentons, aux membres des familles concernées, nos plus chrétiennes condoléances.

Repose en paix ma petite Marraine Georgette.

Tu as toujours été une dame forte et valeureuse, je t'ai tant admirée et adorée.

Je te suis tellement reconnaissante de m'avoir laissé ma place à part entière dans ta vie malgré la séparation.
Je garderais toujours ton message si touchant dans mon cœur quand nous nous sommes retrouvées.

Tes "pauv ptit va hein" vont beaucoup me manquer !

Bon voyage Marraine, sois en paix !

Cher tonton, cousines et cousin

Je suis bouleversée par la disparition de tata Sylviane.
Elle était une personne attachante, qui m'a marqué par sa bonne humeur et sa joie de vivre.
Je me souviendrai toujours des moments passés en sa présence.
Sachez que nous partageons votre peine. Puisse les images de tendresse et de joie partagées avec tata apaiser votre peine dans cette douloureuse épreuve.
Elle sera a jamais dans nos cœurs.
Bon courage à vous
Gros bisous
Sandrine, Nicolas, Florine et Maëline

Sincères condoléances.
Il n’y a pas de mots pour exprimer à quel point Claire et moi sommes affligés par la dure perte que vous vivez.
Nous espérons simplement que notre sympathie vous apportera un certain apaisement.

Adieu Mado. J’avais 6 ans quand nos familles se sont réunies. Tu habitais alors Romainville en banlieue parisienne, où tu t’occupais d’une blanchisserie. Je garde le souvenir du séjour que nous y avons fait avec Maman et Jean-Guillaume. Nous sommes allés à la Tour Eiffel avec ton grand-père, le « Père Noêl », dont la belle barbe blanche et la grande cape lui valaient de recevoir des lettres d’enfants à Noël. Il était plus connu à Brest pour ce personnage que comme l’architecte qui avait reconstruit l’arsenal après la guerre. Puis tu nous a rejoint à Brest avec tes frères. Aux louveteaux, tu étais ma cheftaine Baloo. J’en garde deux souvenirs : tu montes devant moi la passerelle d’un bateau de guerre que nous visitons, et le béret que je portais, hérité d’un de mes grands frères scouts, trop grand pour moi…
J’avais 9 ans quand tu as quitté notre 151 rue Jean Jaurès pour fonder ta belle famille. A ton mariage, à Guengat, je n’ai pas vu la fin du repas car, pour jouer les grands, j’ai bu du vin posé sur notre table et fini allongé dans un à de l’étage en-dessous. Je me souviens de tes mots, furieuse : « Il n’y a pas idée de mettre du vin sur la table des enfants ! ». Ma première cuite !...
Je me souviens d’être allé en famille vous voir dans votre grande maison des Tamaris à Alès, à l’occasion du baptême de Brigitte peut-être. Pas celui de Mireille car à l’annonce de son prénom, j’étais dans la charcuterie où j’entends encore Christian Join s’amuser du nom de la célèbre marque de saucisson sec d’Avignon que vous lui aviez choisie ! Souvenir marquant : un scorpion dans notre chambre ! Tu l’as maudit. Notre voyage en DS Citroën nous a amené à Marseille. J’ai en mémoire l ;a bouillabaisse dont je n’ai aimé que les croûtons !
Nous nous sommes revus deux fois à Argenton dans ce terrain familial où Françoise et Christian, Jacques et Marie-Paul et plus tard, moi-même avec Marie-Madeleine, passions nos vacances en caravane. J’ai le souvenir d’un cochon grillé préparé par Christian et de jeux dont j’ai gardé une photo : Guillaume à genoux la tête dans une bassine d’eau pour attraper une pièce de monnaie, et toi pliée de rire ; on y voit aussi Cathy qui doit avoir 7-8 ans. Quelques années plus tard, le souvenir de toi c’est une grande discussion sur l’évolution de la société, un sujet que tu affectionnais, comme moi. Je crois que c’est ce jour-là que Guillaume, perplexe mais admiratif, a raconté que tu avais défilé en noir dans les rues d’Alès avec Amnesty International !
On s’est revus à St-Paul Lacoste, une première fois j’étais avec Marie-Madeleine et les petits, les deux autres avec des amis, Katell et David ados, puis avec des amis et Katell et ses enfants. On te voyait toujours en bas, à Alès, car disais-tu, « je n’aime pas la campagne ! ». C’est encore la raison que tu as invoquée pour ne jamais accompagner Guillaume lors de son pèlerinage annuel à Guengat, ajoutant même, en plus du manque de chaleur en Bretagne : « Mon rêve, c’est d’habiter Paris » !
On s’est souhaité chaque Bonne Année. La dernière fois, tu comprenais difficilement mes mots. Comme tu m’avais toujours écoutée avec tellement d’attention et d’affection, que nous arrivait-il ? Mado !
On s’attache différemment à chaque personne qu’on aime. On se quitte avec des sentiments aussi singuliers.

Sylvie était une personne d’une rare beauté intérieure, une âme solaire qui illuminait chaque endroit où elle se trouvait. Son rire, si contagieux et légendaire, résonnera toujours dans nos cœurs.

Elle a été pour moi bien plus qu'une amie. Toujours présente pour les autres, généreuse, pleine de vie et d'amour, elle a marqué chacun de ses proches de manière indélébile. Je sais qu'elle est partie comme elle le souhaitait, entourée de vous, sa merveilleuse famille qui a tant compté pour elle.

Son absence laisse un vide immense, mais je suis convaincue que son étoile continuera à briller, veillant sur nous tous. Elle me manque déjà terriblement, mais je me console en pensant aux merveilleux souvenirs qu’elle m’a laissés, et à tout l'amour qu’elle a semé autour d'elle.

Je pense fort à vous, et je vous envoie tout mon soutien dans cette épreuve.

Avec toute mon affection,
Isa.

Mes condoléances a la famille et proche tous mes amitiés

Mes sincéres condoléances à toute la famille.
Toutes mes pensées vous accompagne dans l'épreuve que vous traversez
jean-paul

Toutes nos condoléances, nous pensons très fort à vous en ce moment difficile .

Mon tonton d’amour que j’aime repose en paix ♥️♥️♥️♥️

Liefste Annie of zoals we u noemde meme
De vele bezoeken bij jullie thuis deden ons altijd deugd. Het huis zal leeg aanvoelen. De gezellige babbels. Het warm gevoel als we binnen kwamen. Het zal nu anders aanvoelen maar je blijft voor altijd in ons hart. We gaan je missen rust zacht lieve annieke 😢❤️🕊️

Tres peinè du dècès de mon ami jacqes , je presente à Sandrine et toute la famille mes tres sinceres condolèances

Mon tonton j’aimais tant te respirer, te renifler, te coller, tu coopérais volontiers parce que tu savais. Ce geste dans tes cheveux, cette façon d’allumer ta cigarette, ce sourire étaient plus qu’un cadeau tellement c’était ressemblant à papa. J’aimais ta simplicité, ton côté nature peinture, ta sincérité, ton humanité, ta manière unique de raconter tes anecdotes tel un artiste. Ça va me manquer terriblement. On s’est souvent quittés en pleurant et pour le dernier au revoir aucun de nous deux n’a versé une larme parce qu’on savait que tu allais les retrouver. Je ne t’oublierai jamais mon tonton. Rudy et les garçons non plus. Rudy te promets de perpétuer le rituel du somnifère japonais. Léo d’ancrer sa ressemblance familiale et Robbin de s’inspirer de ce que tu lui as témoigné lors de vos échanges.
Embrasse les fort.
Et n’oublies pas la promesse que tu m’as faite.
Isabelle Rudy Camille Léo Robbin.

J’ai les souvenirs d’un oncle amoureux de l’accordéon, passionné de théâtre, grand amateur d’humour et de facéties, et qui accordait beaucoup d’importance aux valeurs humaines.

Si le bonheur est de pouvoir assouvir ces passions et rester fidèles à ses convictions tout du long, dans ce cas, je reste persuadé que sa vie fût belle.



Adieu l’artiste, adieu mon oncle, adieu Marco.

Famille Petris / Fouques

Je vous présente mes sincères condoléances

A Renée et Albert
Nous deux Sandra avons été bien triste d'apprendre le décès de Hubert...
Beaucoup de courage à vous deux
Lydia...Sandra...et toutes notre petite famille

Bon voyage pour te réunir avec la famille, la haut, déjà, tu es une belle âme, toujours gentille et accueillante.
Un dernier GROS BISOUS. Repose en paix. 😇🥲😘

Il semblerait que nous arrivons à l’âge où nous nous disons adieu, nous, les aventurières fondatrices de Magdalena Project, .

Brigitte a été présente dès le début de Magdalena Project, une voix très particulière, jamais dans l’air du temps, jamais consensuelle. Immensément cultivée, passionnée de littérature et donc d’écriture, sous des apparences de fragilité et d’oiseau blessé, elle avait une détermination et une force impressionnante. Elle a monté le premier festival de Voix de femmes à Liège avec presque rien, un optimisme inébranlable et en même temps elle prenait à bras le corps les tragédies féminines : elle a créé en même temps que le festival, un réseau des femmes, sœurs, mères de disparues. Elle les invitait à mettre en mots, en actes, en pensées des douleurs insupportables. Elle croyait dur comme fer que l’art était un des vecteurs possibles, un des langages accessibles, elle y croyait envers et contre tout et elle l’a mis en acte.

J’ai appris avec les années à aimer, respecter et admirer cette femme si particulière, si surprenante. Nous sommes toujours de loin en loin restées en contact. Je lui ai souvent demandé d’écrire, j’avais été impressionnée par les textes qu’elles m’avaient fait lire, j’avais le sentiment de rencontrer une écrivaine en devenir.

Cette dernière année, j’ai eu le bonheur de lire le roman qu’elle avait enfin écrit, « Sarandra ». Une écriture si personnelle, à la fois lyrique et tranchante, à la fois évocatrice et dure, à la fois belle et brutale. L’histoire qu’elle nous raconte, ou les histoires sont infiniment tristes et elle arrive à en extraire une beauté douloureuse. J’ai été immensément touchée par ce roman, et j’y ai surtout vu le premier roman d’une écrivaine. Je pleure aujourd’hui tous ces livres qu’elle portait et qu’elle a emportés.

C’était une très belle femme.

Nous avons eu la joie et le bonheur, Daniel et moi même de partager un très bon moment avec Frédérique l'été 2023 dans le sud. Elle était heureuse et profitait pleinement de ses vacances dans l'Esterel. Malgré notre éloignement kilométrique, nous échangions par téléphone. Ces moments resteront gravés dans notre mémoire. Souhaitons aujourd'hui que nous nous rappelions tous des jolis moments passés avec Frédérique. Bien sincèrement et affectueusement.